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PGDay 2009 : French track
List of proposals
- Marc Cousin - Eric Bollengier / Bacula et PostgreSQL, optimisation et retour d'expérience
- Olivier Courtin et Vincent Picavet / PostGIS, un module de PostgreSQL pour les données spatiales
Details
1. Bacula et PostgreSQL, optimisation et retour d'expérience
* Noms : Marc Cousin - Eric Bollengier * Entreprises : Sigma Informatique (hypothétique, possible que ne souhaite pas être mentionné), Bacula Systems. Ne changera pas la présentation, sauf présence ou non de Sigma sur les slides. * Biographie : Marc Cousin : DBA PostgreSQL depuis 8 ans, DBA Oracle depuis 10 ans, ingénieur système Unix/Linux. Implication dans la communauté : membre PostgreSQL Fr, participation aux mailing list/forums PostgreSQL, articles, participation dans des projets Open Source autour de PostgreSQL (dont Bacula). Support et architecture des technologies Open Source à Sigma Informatique. Eric Bollengier : directeur de l'ingénierie chez Bacula Systems. Membre actif de la communauté Bacula depuis 2003. Eric a écrit de grandes parties du logiciel Bacula, et a aussi développé l'interface Bweb pour Bacula. Avant ça, Eric a travaillé en tant qu'administrateur système et réseau. * Titre de la présentation : Bacula et PostgreSQL, optimisation et retour d'expérience * Résumé de la présentation : - Bacula et les SGBD, historique - Le schéma de la base - Le portage sous MySQL, puis PostgreSQL - L'état de l'implémentation PostgreSQL en 2006. Problématiques : - Requêtes d'insertion - Gestion des transactions - Gestion des verrous - Tentatives d'optimisation (requête préparée, procédure stockée), benchmarks, solution définitive - Situation actuelle (références en production, performance) - Problématiques spécifiques : insertion de masse (plusieurs millions d'enregistrement par requète dans une table contenant plus d'un milliard de tuples, interrogation pour restauration, purge, nettoyage des enregistrements superflus). - Tuning spécifique - Pourquoi préférer PostgreSQL pour Bacula ?
2. PostGIS, un module de PostgreSQL pour les données spatiales
Name(s) : Olivier Courtin et Vincent Picavet Company : N/A Biography : Vincent Picavet est ingénieur en mathématiques appliquées. Après un passage à l'INRIA pour du traitement d'imagerie satellitaire, il entre au domaine géomatique de Makina Corpus, chez qui il conçoit et réalise des SIG dont PostgreSQL et PostGIS sont les pierres angulaires. Il donne des formations PostGIS à l'université et en entreprise, et travaille désormais en indépendant en tant qu'expert SIG et OpenSource, ce qui lui a donné l'occasion de devenir contributeur PostGIS, et de participer au PGDay 2008. Olivier Courtin a commencé à travailler avec PostGIS en 2004 dans le cadre de sa thèse de master. Il a organisé plus de 25 sessions de formation liées à PostgreSQL et PostGIS ces 5 dernières années. Olivier est un commiter PostGIS depuis 2008, en charge des fonctions d'export PostGIS. Il a participé au PGDay francophone 2008 et au code sprint de Toronto en 2009. Title : PostGIS, un module de PostgreSQL pour les données spatiales Abstract : Il est dit que 80% de l'information possède une composante spatiale. Pour tirer pleinement parti de cette caractéristique, les collectivités locales comme les entreprises privées mettent en place des systèmes d'information géographique. Les SIG étaient historiquement des logiciels bureautiques, mais ont évolué vers des systèmes à l'architecture distribuée, et une ouverture forte vers le web. Dans ce contexte, le SGBD PostgreSQL accompagné de la cartouche spatiale PostGIS tient une place prépondérante pour le stockage et le traitement des données. Que ce soit pour des finalités de représentation cartographique, de manipulation et traitement de données métier liées au territoire, de géodécisionnel ou de géomarketing, le couple PostgreSQL/PostGIS répond aux besoins sans rien envier aux concurrents que peuvent être Oracle Spatial, SQL Server ou MySQL. Basée sur des normes de l'ISO ou de l'OGC, PostGIS permet de traiter des objets géographiques simples (points, lignes, polygones) ou plus complexes. Les mécanismes d'indexation spatiale permettent d'atteindre des performances accrues pour les requêtes sur ces objets géographiques. De nombreux opérateurs et fonctions permettent des traitements variés sur les géométries. La création, modification, mais aussi les calculs de relation et de mesure entre les objets (intersection, proximité...). Des traitements plus complexes sont également disponibles : aggrégation de géométries, calcul d'enveloppe convexe, simplification de géométries... PostGIS fournit aussi des fonctions d'export qui facilitent l'interopérabilité des systèmes. L'export JSON favorise l'utilisation des données dans des applications web basées sur OpenLayers, l'export KML permet une visualisation immédiate dans Google Earth, le GML est destiné aux applications utilisant les standards OGC (p. ex. TinyOWS). L'entrée de PostGIS dans le processus d'incubation de l'OSGéo garantit la perennité de ce composant, et promet de nouvelles fonctionnalités pour les versions à venir 1.5 puis 2.0.